Dante's Cove
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Un hôtel ancien, des événements étranges...
 
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Emery Argawaen
Emery Argawaen
Emery Argawaen
Messages : 9
Date d'inscription : 02/05/2017
Age : 27
Lun 8 Mai - 20:24
My sweet story ~


Emery Argawaen
♦ Nom civil : Argawaen.
♦ Prénom(s) : Emery.
♦ Age : 25 printemps.
♦ Orientation sexuelle : Homosexuel.
♦ Origine : Belge.
♦ Fonction : Gogo danseur.
♦ Pouvoir : Nothing.


I'm FABULOUS!


 
Emery est un jeune homme au profil assez élancé. Jouant de son mètre 80. Avec un visage très fin et des traits précis. Il est reconnaissable comme étant beau. Avec son nez droit et ces fines lèvres parfaitement dessiné, il fut courtisé plus d’une fois bien qu’il n’en a que faire. Atteint d’albinisme, son corps se voit démunie de toute couleur, si ce n’est ces yeux d’un rouge sang. Il a les cheveux couper court devant et plus long derrière, avec toujours cette foutus mèche rebelle qui lui vrille le visage. Il ne sourit pas souvent, mais le fait de façon très délicate. On eut pu le croire en verre tant il semblait parfait sous certain angle. Pourtant il affiche la trace de son honteux passé. Balafré à l’épaule gauche d’une brûlure plus que disgracieuse, il ne cache pas vraiment ses tard. Les arborant presque comme une punition silencieuse. Il possède également des doigts fins, dont il est assez fier. Ils voient cela comme le reflet de son âme d’artiste.
 
Ses gouts vestimentaires son assez particulier, partant pourtant toujours dans des couleurs très blanches, comme pour souligné sa propre impudeur. Aimant les vêtements amples, il souligne ainsi sa silhouette svelte également. Il possède un petit tatouage aux creux du poignet droit, celui-là d’une note de musique. Il porte presque toujours son casque hurlant sa détresse par la douce mélancolie de sa musique habituelle.




Je suis fou, et vous?



 
Emery est un garçon que l’on qualifie souvent de vide, sans saveur, blasé, brisé, triste. Bien des mots lui sont ainsi attribués, pourtant il lui suffit d’un sourire aussi pur que l’eau des montagnes pour faire trembler toute personne devant lui. Il joue presque de cette innocence et est d’une personnalité très détacher pour bien des choses. Ainsi on ne voit son «  vrai »  visage qu’en étant réellement proche de lui. Passionné de musique, il utilise souvent ce langage pour ce faire comprendre. Peu bavard, habitude de son enfance, il tient en secret pas mal de chose. Malin et parfois manipulateur il n’en reste pas moins maladroit avec les nouveaux venus à sa portée. Peut-on le trouvée charmant quand il cherche dans ses mots la moindre petite faille pour ainsi faire bonne figure. On put le croire ainsi parfait, mais ses boulots montrent une toute autre facette de lui. Souvent engagé comme danseur peu habillé, il joue de cette fragilité pour mettre en émois la moindre des femmes qui osent le regarder. Vile jeune homme, n’est-ce pas ? Il est en effet bien plus intelligent qu’il ne peut le laisser croire. Toute fois on lui connait une faiblesse, un point sensible, une chose plus douce en lui. C’est son frère. Quête de chevalier en vain, l’espoir peut le pousser à croire n’importe quel chose à ce sujet. Courant après des ombres il s’est perdu plus d’une fois. Mais rien ne brise sa fois. Evité donc ce sujet, il ne pourrait plus s’arrêter d’en compter la qualité. Il faut savoir qu’une fois à son aise, Emery se montre très humoriste, ayant un petit penchant dominant et l’âme de gagnant, il taquine à loisir et sa maladresse n’y aide en rien. Faisant de l’ironie son adage, il n’en reste un très bon ami, fidèle et dévoué. Mettons juste son petit caractère de côté.




Il était une fois...



Peut-on commencer son histoire par l’adage «  il était une fois » ? Quand elle est digne d’un conte de fée j’imagine que l’on peut. Pourtant ma vie n’a rien d’une histoire simple et tranquille au rebondissement princier. Mon histoire est plus simple que ça, dans le fond. J’étais un petit garçon assez heureux dans ma tendre jeunesse. Mes parents m’avaient fait le plus beau des cadeaux en mettant mon petit frère au monde. Petit garçonnet aux cheveux blancs, il était à mes yeux le meilleur compagnon de jeu qu’un enfant puisse rêver d’avoir. Bien que nous nous soyons déjà disputés, comme tout enfant, nous arrivions toujours à imaginer des aventures plus fantastiques les unes que les autres, d’où nous étions les héros. Je nous revois aujourd’hui encore, à courir comme deux idiots dans le jardin de la demeure familiale. Et quel demeure mes amis ! Un habitat sombre mais merveilleusement décoré, avec son arc de cheminé, son salon bordé de livre, sa cuisine des plus moderne et que dire de toute ces chambres à notre disposition. Bien que mon frère fût un garçon maladroit, il avait l’habitude de me protégé comme si j’étais son seul salut. S’en était vraiment touchant. Pour ma part j’essayais au mieux de lui apprendre tout ce que la vie m’avait déjà enseigné ! Comment trouvé la bonne cachette, comment ne pas avoir peur du monstre sous son lit, quel était les techniques pour ne pas manger ces légumes. Quelle douce nostalgie. Nos journées étaient de plus merveilleuses.
 
Digne d’un conte de fée n’est-ce pas ? Pourtant aucun prince ne viendra sauver la situation.
 
Tout était calme, l’horloge du salon venait de laisser entendre le Dong sonnant les minuits. Je dormais dans le lit de mon frère, comme il m’arrivait parfois de le faire quand mon sommeil ou le sien furent troublé de sombre cauchemar. On avait joué tout la journée, imaginant mille cachettes où nos parents avaient pu cacher les cadeaux de son anniversaire qui approchait. Sans bien sûr trouvé quoique ce soit. Avait-on touché quelques choses à ce moment-là ? Avait-on celé notre destin sans même le savoir ? Je l’ignore. Tout est si flou. Je ne me rappel pas de tout je dois bien l’avouer, mais si une chose perdure pour moi c’est bien cette odeur âcre de souffre, de fumée et cette chaleur horrible qui me brûlait la peau et me mettait en nage. J’ignore ce qui m’a réveillé. Un bruit ? La chaleur ? Un cri peut-être ? Je ne le saurais jamais. La première chose que j’ai vue en me réveillant c’est cette fumée qui emplissait déjà la pièce. J’avais réveillé mon frère, faisant tout mon possible pour ne pas l’affoler, lui promettant que tout allait bien ce passé. Je me rappel même lui avoir présenté ça comme si c’était un jeu. J’ignore si ça l’a aidé à l’époque.
 
J’avais assez vite compris que la bâtisse prenait feu et qu’on allait devoir sortir au plus vite. Je revis inlassablement ces moments, toutes les nuits. J’avais vissé ma main moite dans la sienne. J’étais affolé, malgré mon âge j’avais conscience que le danger était plus que grand et la seule chose que j’avais en tête c’était que je devais sortir Joshua d’ici au plus vite. On avait commencé à marcher dans les couloirs en se couvrant la bouche et le nez avec nos hauts de pyjamas. Je me rappelle avoir voulu partir par les escaliers, mais déjà les marches étaient dévorées par le feu. J’avais la tête qui tourne, le manque d’oxygène mettait mon corps à rude épreuve. En parcourant ainsi l’endroit j’ai fini par apercevoir une fenêtre par-là quel on pourrait sauter. Enfant naïf. Vous vous doutez bien que l’appel d’air crée lors que j’ai soulevé le loquet et écarter les vitres n’avait fait que propager le feu plus vite. C’est comme si le monde avait explosé à ce moment-là, je me rappelle être tombé dehors, soufflé avec force. J’en avais lâché la main fragile de mon frère. Tout est trouble après ça. Je sais que je l’ai cherché du regard. Mon épaule me faisait atrocement mal, souffler par les flammes j’avais été brûlé jusqu’à ce qu’on ne distingue même plus ma peau.  J’ai cherché à me relever, je devais absolument le retrouver. Les mots que ma mère avait prononcés le jour de sa naissance me tournaient en tête comme une rengaine «  Maintenant Emery, tu dois le protégé ». J’avais échouée, maman pardonne moi. Je n’arrêtais pas de crier son nom, au point que ma gorge me faisait mal. Mais la douleur finit par prendre le dessus une fois de plus et je me suis écrouler à nouveau. Ainsi bercé dans les limbes de l’inconscience, je n’ai jamais su ce qu’il c’était passé ensuite.
 
Quand j’ai repris conscience j’étais allongé dans un lit. La lumière du matin me faisait mal aux yeux. Je me rappelle avoir paniqué en ne comprenant pas toute de suite ce que je faisais là. C’était l’anniversaire de Joshua, je devais être près de lui, je n’avais rien à faire ici ! Les adultes prirent le temps de m’expliquer, mais malgré leurs paroles calmes et réconfortantes, je ne parvenais à me stopper mon angoisse. Je voulais le voir, je voulais être près de lui ! Je n’arrêtais pas de crier, pas une parole sensée de parvenait à franchir mes lèvres. Finalement je fus confié à un orphelinat, mes parents n’ayant pas survécus à l’incendie. Ils étaient morts en bien heureux, simplement endormie par la fumée, avant même que la couleur des flammes n’explose. J’ai appris que Joshua était toujours hospitalisé, il avait été gravement brûlé dans le dos. C’était de ma faute, j’vais ouvert cette putain de fenêtre. J’ai passé toute mes journées à l’attendre depuis, pas un mot de franchissait la barrière de mon silence. J’étais obsédé par lui, je voulais le voir, je voulais le prendre dans mes bras. Mais cela n’est jamais arrivé. A peine fut il sorti de l’hôpital qu’on le confia à une famille d’accueil. J’avais explosé en l’apprenant, brisant chaise et autre objet autours de moi jusqu’à ce que les pensionnaires quittent les lieux, laissant simplement ma rage ce calmer avant d’agir.
 
J’ai fini par être adopté à mon tour alors que je venais d’avoir onze ans. Je détestais ma famille d’accueil. Religieux jusqu’au bout des ongles, ils imposaient jusqu’à la prière avant les repas. Alors que moi je ne croyais déjà plus en rien. J’ai fait mine basse pendant tout ce temps, m’engouffrant de plus en plus dans mon silence. Au grand désespoir de beaucoup, j’avais refusé de prononcé le moindre mot depuis l’incident. Rongé par le chagrin et la colère, je me contentais de faire les choses indispensables, sans jamais éconduire à autre chose de mieux. Je passais tout mon temps libre à lire ou à regarder par la fenêtre, plongé dans des souvenirs de plus en plus flous et de plus en plus loin. Puis vint le jour de mes quinze ans. Pris dans une nouvelle frénétique envie de changer le monde en mieux, mes parents adoptifs avaient décidé d’accueillir dans la famille une cousine qui venait de perde père et mère à son tour. Je me rappelais toujours de ce jour. Elle était grande, rousse, frisé avec des tâches de rousseur partout et un sourire. Quel sourire ! Enchainement de petites perles blanches d’une beauté sans nom. Je ne comprendrais jamais comment elle peut sourire ainsi à tous les problèmes de la vie. Elle me confia plus tard que pour elle, c’était sourire ou ce laissé mourir.
 
Sa venue bouleversa ma vie. Elle me communiqua sa passion de la musique, notamment la basse, elle me fit reprendre parole, elle me fit sourire à nouveau. Pourtant, jamais je n’ai pu la considéré comme ma sœur. Ne voulant plus jamais m’attaché fraternellement à quelqu’un. C’était ma meilleure amie, sans plus. Malheureusement les bonnes choses ne durent jamais. Et elle finit par m’avouée ces sentiments à l’aube de mes vingt ans. On était tous les deux sur le chemin de retour de l’université, quand elle me lâcha ça, sans que rien ne puisse le présager. J’en étais désolée, je ne voyais réellement en elle qu’une bonne amie. Après ça j’ai abandonné mes études et j’ai quitté le domicile. C’était trop dur pour elle et je ne voulais pas lui imposer cela plus longtemps. J’ai passé les quelques années suivant à parcourir le pays, passant de petit boulot en petit boulot, d’appart minable en appart minable. J’étais la honte de mes parents adoptif, ainsi quitté leurs demeures, cela les avait sans doute beaucoup peiné. Mais c’est ma façon de briser leurs foi, cet air d’indifférence que je traînais et par-dessus tout le déchainement de boulot plus ingrat l’un que l’autre, qui durent me changer en simple inconnu à leurs yeux. J’admets qu’accepter ainsi un job de danseur gogo ne devait pas les avoir emplies d’une foi nouvelle. Mais que voulez-vous, tout ce qui comptais à mes yeux c’était d’avoir de quoi vivre. La plupart des choses m’étaient égales.
 
Pourtant une fois mes vingt-cinq ans venu, j’ai décidé de reprendre ma vie en main. Consacrant le plus clair de mon temps à jouer de la basse, je n’avais pas de réel don et trouvé un travail sérieux fut très difficile pour moi. Et c’est en parcourant un journal dans un café quelconque j’ai vu s’ouvrir à moi un présent nouveau. On y parlait d’un hôtel où circulait pas mal de rumeur et dont les chambres ne coutaient presque plus rien. Je pouvais presque voir ces horizons nouveau m’appelé. Pourquoi j’eu cette sensation ? Aller savoir, je suis enchaîné à mon dessein après tout.  C’était ma chance de repartir de zéro, qui plus est. Et surtout une chance de prendre de la distance avec mon passé. Il me fallait trouver la force de bannir le passé, les souvenirs qui me faisait si mal. J’ai tout plaqué le jour même pour faire mes valises. Je ne connaissais pas du tout cette grande ville et la beauté des lieux me submergea. Typé ancien la bâtisse m’était presque nostalgique. J’avais trouvé un travail quelconque, simple formalité à mes yeux. J’allais pouvoir m’installé ici. Un vent de frisson me parcourra l’échine. C’était étrange comme sensation. Comme si ces lieux m’avaient attendu tout ce temps. J’ai pris une longue inspiration et j’ai franchis les portes de ma nouvelle vie.
 
Et si j’étais un hiver, l’attendrais-tu finir ? Car pour toi Joshua, je fus tout et plus encore n’est-ce pas ? Si j’étais une couleur, tu serais la lumière. Si tu étais le silence, j’apprendrais à me taire. Tu fus mon tout et plus encore. Te perde fut comme me perdre un peu plus. Tel un homme vide et sans fond j’ai parcourus le monde à la recherche de ton regard. Presque las aujourd’hui seul l’espoir me pousse à avancer. Je prie le destin chaque jour de me rendre cette partie de mon âme trop tôt arrachée. Est-ce mal d’espéré encore ?




♦ Pseudo HRP? :Emery or Angel.
♦ Parles nous de toi : 20 ans, Biologiste, Passionnée, folle.
♦  Comment es-tu arrivé ici? : On m'a forcée... Help !
♦ Quelque chose à nous dire? : Feunouille.
♦  Avatar : OC Naitou-kun

Emery Argawaen
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Messages : 39
Date d'inscription : 01/05/2017
Dim 14 Mai - 12:45

Tu es validé(e)
Nous te félicitons.


Tout le monde ayant dit que c'était valide je viens valider officiellement ta fiche.
Bon tu sais déjà mon avis dessus étant donné qu'Emery et Joshua sont frères, mais voilà j'aime beaucoup. ♥

Tu peux dès à présent aller faire les recensements juste ici > https://dante-s-cove.forumactif.com/f6-les-recensements
Tu peux aussi faire ta demande de rp qui se trouve juste ici > https://dante-s-cove.forumactif.com/f14-les-demandes-de-rp
Mais aussi si jamais tu as envie tu peux aller faire ta fiche de liens qui se trouve ici > https://dante-s-cove.forumactif.com/f7-gestion-du-personnage

Nous te souhaitons un agréable séjour à l'hôtel Dante's Cove.

Cordialement le staff de Dante's Cove.

anglycanne sur epicode
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